Apprenez-en davantage sur l'expérience Ironhack grâce à ceux qui l'ont vécue..!
Boubacar
Tracking Specialist
Eva
Backend Engineer
Émilie
Product designer
Abélia
Data analytics product lead
7 minutes
Manon Roux - 2023-08-23
Alumni
UX/UI Design
De pâtissier à UX designer, d'acrobate à dev, de commercial à responsable cybersécurité, vous n’allez pas forcément repartir à zéro . Les compétences techniques et vos qualités humaines (les soft skills) feront certainement la différence, comme cela a été le cas pour Anthony et Yasmina. Ils ont mis à profit leurs premières expériences pour construire leur reconversion, dans un métier qui les comble parfaitement aujourd’hui. Voici leur retour d’expérience. Le souffle de la reconversion Yasmina Bouabdallaoui et Anthony Cots ont tous deux eu une carrière riche (éclectique, même) avant de bifurquer vers un métier de la tech en suivant un bootcamp de Ironhack . Commerciale dans la radiologie depuis 10 ans, Yasmina se lance dans l’entrepreneuriat et monte une solution de coaching en alimentation dans le digital. « En tant qu’entrepreneure, j’ai travaillé avec une Product Designer. Elle m’a montré la méthode du design thinking. Ça m’a tout de suite intéressée , car lorsque j’étais commerciale, j’avais le réflexe de sonder les besoins des utilisateurs et faire le pont entre les membres de différentes équipes. J’ai été bluffée par mon attirance pour le design et happée par lui. Quand j’ai fermé ma boîte, je savais que c’était le domaine vers lequel je voulais aller et que ma première carrière allait faciliter ma transition professionnelle ». Yasmina décide de faire confiance à ses compétences et à sa soif d’approfondir ses connaissances en product design. Elle cherche une formation pour acquérir rapidement les bases. « Mon associée avait suivi le bootcamp en développement Web chez Ironhack. Je savais qu’il existait le même format pour le design. Cela me convenait : je venais d’être maman, je voulais quelque chose de très opérationnel et rapidement formateur . En plus, j’ai été l’une des 10 chanceux à bénéficier de l’opération Paris Code, qui finançait l’intégralité du bootcamp UX / UI Designer via la ville de Paris et Pôle emploi. Tout s’est aligné pour moi ». Cela me convenait : je venais d’être maman, je voulais quelque chose de très opérationnel et rapidement formateur . Yasmina Anthony , quant à lui, sortait de 10 ans d’expérience dans le webmarketing et le graphisme. Après trois ans à son compte en tant que graphiste, il a découvert l’UX / UI design. « Je me suis dit que c’était la rencontre parfaite entre mes différentes compétences , notamment le côté analytique du webmarketing et le côté artistique du graphisme », se rappelle-t-il. « UX / UI designer, c’était la jonction naturelle de mes métiers de graphiste et webmarketeux ». Anthony Anthony demande donc un financement à l’organisme financeur des indépendants, le FIFPL, qui prend en charge l’intégralité du bootcamp. La découverte d’un nouveau métier chez Ironhack Avec un financement en poche, voilà Anthony et Yasmina dans les meilleures conditions pour faire aboutir leur projet professionnel. Pendant leurs bootcamps respectifs en UX / UI design , ils apprécient l’aspect pratique . « Depuis tout petit, je n’ai jamais aimé le système scolaire parce que c’était très théorique. Là, on nous donnait des bases théoriques essentielles mais on mettait ensuite très vite en pratique ». Anthony Un constat partagé par Yasmina, qui avait besoin d’entrer dans le concret rapidement. Ils sont aussi agréablement surpris par la qualité des savoirs enseignés et de l’encadrement. « Les enseignants étaient de très haut niveau : pas étonnant avec cette qualité que la formation soit reconnue sur le marché ». Yasmina Un sentiment qu’a partagé Anthony, qui a vécu « la meilleure expérience d’enseignement de sa vie , grâce à la disponibilité des professeurs ». Les deux diplômés ont pris le bootcamp comme l’opportunité de se donner à fond. « Il faut voir le bootcamp comme une première marche nécessaire et se donner à fond ». Yasmina Anthony a travaillé au maximum, poussé ses projets et les a documentés sur Medium. Yasmina a profité de l’émulation de groupe de la formation en présentiel : « on s’entraidait et on se tirait vers le haut. Le rythme était intense et cela nous a fait créer des liens d’autant plus forts entre participants au bootcamp ». Mieux rebondir grâce aux compétences transposables La première carrière d’Anthony dans le webmarketing, le graphisme et en tant que DJ et compositeur lui a donné plusieurs compétences transposables utiles dans l’UX / UI design : la capacité à voir si le design est cohérent , qui s’acquiert avec le temps et pour laquelle il avait déjà l’œil entraîné, l’aptitude à comprendre un projet aussi bien en micro qu’en macro le langage commun avec les parties prenantes : avec les équipes dev, produit, de communication une bonne culture tech , pour anticiper certaines choses qui ne seront pas possibles à développer. En tant que freelance, Anthony occupait aussi plusieurs fonctions en même temps et il a appris à s’adapter à chaque situation, travailler seul ou en équipe et communiquer de manière professionnelle . Yasmina quant à elle, fait bien le pont entre le métier de commerciale et de Product Designer, car elle a pu mettre à profit de nombreuses compétences transposables aussi : le fait de savoir sonder les besoins et problématiques des utilisateurs l’empathie , indispensable dans les deux métiers savoir faire faire remonter des problèmes et trouver des solutions la capacité à collaborer avec les autres profils du produit, tout comme elle le faisait avec les développeurs en tant que commerciale. Pour elle, la différence entre le métier de commerciale et celui de Product Designer est que dans le second, on entre dans la construction du produit et qu’on évite les négociations financières et l’élaboration des contrats. Yasmina voulait cesser de gérer ces deux aspects et voyager moins souvent, elle a donc trouvé le compromis parfait avec son nouveau métier. Un nouveau départ du bon pied Entre musique et UX Passionné par la musique, Anthony saute sur l’occasion du projet de fin de formation proposé par Ironhack pour mettre un pied dans l’univers tech du son . « Je voulais lier ma passion pour la musique à mon métier. J’ai contacté Qobuzz, le leader français de streaming de musique haute résolution, qui permet d’écouter ou télécharger la musique en haute qualité. Ils ont accepté et j’ai fait le dernier projet avec eux. C’était un tremplin où je me suis beaucoup investi. Ensuite, j’ai été engagé pour une mission chez Dailymotion. Ils ont refait leur branding et dans ce contexte, je les ai accompagnés en tant que product designer freelance pendant 1 an ». « Le bootcamp de Ironhack m’a aidé à lier mon métier de designer à ma passion, la musique ». Anthony Aujourd’hui, Anthony souhaite continuer sur cette voie. Il aimerait travailler soit pour une entreprise qui réalise des produits musicaux et a besoin de designers pour créer les outils qui les composent, soit travailler avec des entreprises qui réalisent des identités sonores. « Elles ont en effet besoin de designers qui viennent étudier comment se comportent les utilisateurs afin de proposer le mix sonore le plus efficace, comme celui de la SNCF, que tout le monde connaît », explique-t-il. À pieds joints dans le Product Design Après le bootcamp, Yasmina a réalisé quelques missions en freelance avant de rejoindre une jeune startup de l'AdTech en tant que première Product Designer. Quelques mois plus tard, elle a été contactée par un RH de Pennylane. J’ai passé plusieurs entretiens, notamment une simulation d’entretien utilisateur avec le Chief Product Officer et la Head of Design, en live, avec une proposition de solution à présenter en prototype, puis un culture fit. « Ma carrière passée a joué en ma faveur car j’avais réfléchi à comment je pouvais valoriser mes compétences transposables. J’ai été embauchée comme confirmée tout de suite, avec un salaire intéressant. Lorsqu’on se reconvertit, on n’est pas junior ! ». Yasmina Yasmina est à présent Product Designer chez Pennylane, un logiciel pour les comptables et entrepreneurs. Elle intervient sur tout le scope en squad, de la discovery à la delivery et en passant par la QA. Ce qui l’intéresse le plus, de par son parcours, c’est la discovery. C’est grisant pour elle de se mettre dans la peau des utilisateurs pour retranscrire leur besoin au plus proche. Sur le reste, comme tout·e professionnel·le qui se respecte, elle se forme en continu. ______________________ Vous aussi, formez-vous au sein du bootcamp UX / UI Designer de Ironhack pour vous reconvertir dans le design ou le product design. Vérifiez aussi quelles options de financement s’offrent à vous pour concrétiser ce projet de formation ou évolution professionnelle.
6 minutes
Manon Roux - 2023-08-23
Alumni
Carrières
UX/UI Design
Peut-on vraiment se reconvertir dans n’importe quel métier ? Spoiler alert : OUI . Et pour vous le prouver, Cédric et Minyoung ont choisi de vous partager des bribes de leurs carrières professionnelles, pour le moins… surprenantes. Nous espérons que ces trajectoires de vie qui prouvent que tout est possible vous inspireront pour changer de carrière si vous ne vous sentez pas tout à fait à votre place au boulot. Leur parcours avant Ironhack Tout un cirque Au départ, Cédric veut être comédien itinérant. Pour ce métier, il faut apprendre à tout jouer : il choisit donc de compléter sa formation par de l’acrobatie à l’École du cirque Annie Fratellini. Et là, c’est le coup de foudre ! « Du matin au soir et du soir au matin, je ne voulais faire que ça. Je séchais les cours d’anglais pour m’entraîner. J’ai très vite progressé et j’ai intégré une équipe d’acrobatie de 1994 à 2001 ». Cédric Et là, patatras. En 2001, année fatidique, Cédric réalise un numéro de cirque où il saute par-dessus des éléphants. Il rate sa réception et dynamite son genou gauche. Les huit mois de patiente rééducation ne lui permettent pas pour autant de reprendre sa carrière. « J’ai beaucoup déprimé car plus qu’un métier, l’acrobatie était ma vocation . J’ai vogué de petit boulot en petit boulot pendant des années. Suite au confinement, j’ai voulu redonner un sens à ma carrière. C’est là que je me suis d’abord formé au développement informatique, puis au design ». Cédric écoute alors son attrait pour le monde du Web. Il comprend que le métier de développeur est très demandé et fait une première formation à distance de 6 mois pour l’apprendre. Puis, il choisit d’ajouter une seconde corde à son arc avec le bootcamp UX / UI Designer, cette fois en présentiel à Paris. Il se dit que maîtriser les deux métiers renforcera l’attractivité de son profil, du haut de ses 44 ans . « Je voulais cette double compétence et j’ai choisi Ironhack en anglais pour le défi, car je n’avais pas pratiqué depuis mes années de cirque. J’y croisais des gens de toutes nationalités. Ce sera pareil dans le monde du Web, alors autant m’entraîner ». Cédric Corée-France Avant de faire du développement Web, Minyoung, sud-coréenne de naissance, avait déjà vécu plusieurs vies professionnelles. En Corée jusqu’à 18 ans, elle étudie le droit international au Japon. Puis, elle trouve un poste en tant que designer UI, sa passion. Depuis ses 8 ans, elle utilisait Adobe à la maison, ce qui lui a permis de décrocher le job. Minyoung touchait un très haut salaire pour une jeune diplômée. Sa situation était stable. Mais cela ne devait pas durer. « Après 4 ans en poste, j’ai eu un accident de voiture. Je me suis rendue compte que je pouvais mourir à tout moment et j’ai revu mes priorités professionnelles ». Minyoung La jeune femme prend un aller simple pour Paris en 2016. Elle étudie au Cordon Bleu et travaille comme pâtissière au Meurice. Là encore, le COVID stoppe son expérience en cuisine. « J'ai dû réfléchir à ce que je pourrais faire qui serait plus flexible en termes de localisation. J'ai trouvé le bootcamp Ironhack à Paris. Il était ouvert aux anglophones. Je me suis inscrite ». « Ce projet m’enthousiasmait parce que j’aimais mon premier job en tant que designer, qui est proche de celui de développeuse Web. Je voulais travailler depuis n’importe où », se rappelle la jeune femme. « Plusieurs amis développeurs gagnaient très bien leur vie : alors pourquoi pas moi ? ». Minyoung L'expérience du bootcamp Ironhack « Pendant le bootcamp Développeur·se Web , je me suis sentie vraiment stimulée , raconte Minyoung. Le React ou le backend étaient tout nouveaux pour moi. On travaillait de manière intense, parfois même le soir et le week-end. Je m’étais trouvée deux très bons amis avec lesquels on se soutenait. C’était grisant d’apprendre tant de choses en si peu de temps et j’ai été triste de finir la formation ». Cédric, quant à lui, a adoré le prototypage dans le bootcamp UX / UI Designer . C’était un aspect très geek du parcours sur lequel il s’est beaucoup amusé. Cela ne l’a pas empêché de développer de solides compétences en design thinking et UX research. « J’ai adoré cet aspect du métier, car être la voix des besoins des utilisateurs, c’est une place que j’apprécie tout particulièrement dans une équipe », explique-t-il. « Les cours étaient solides et tout ce que donnaient les profs. En sortant du bootcamp, j’avais confiance en mes compétences ». Cédric Leur reconversion après Ironhack Se former en continu Cédric ne se repose pas sur ses lauriers maintenant que son bootcamp financé par Pôle emploi touche à sa fin. Une semaine après la fin de la formation, Figma a fait une mise à jour qui l’a obligé à se former à nouveau. Il continue aussi à creuser les compétences acquises, en parallèle de sa recherche d’emploi. À peine diplômé, il a eu des contacts avec des entreprises à Pau. Il recherche avant tout un poste d’ UI Engineer . C’est un UI / UX designer avec de grosses connaissances en développement qui fait le pont entre l’équipe UI et Dev. « Des fois, il y a des problèmes de compréhension. On voit passer pas mal de mèmes sur des designers qui veulent faire des designs farfelus et les développeurs qui deviennent fous : mon métier, ce serait de fluidifier la communication ! », nous confie-t-il, facétieux. 2 mois pour trouver un job Minyoung n’a pas traîné pour se faire embaucher. « Nous avons obtenu notre diplôme fin février et j'ai commencé à travailler début avril. Je voulais travailler dans le Web 3, sur un projet lié à la blockchain, Dogami. C’est une très mignonne idée d’une espèce de Tamagochi. Vous achetez un chien NFT et vous l’utilisez sur le Web 3. J'ai envoyé un message sur LInkedin à son directeur technique. Ils m’ont embauchée directement. J’étais la seule développeuse Front-end , accompagnée par un senior en externe. J’ai donc appris très rapidement, même si j’étais sur un projet à la fois. Puis, j’ai rejoint une autre entreprise du groupe, Pyratzlabs. Là, je travaille sur plusieurs projets à la fois : c’est très stimulant ». Mettre en avant ses expériences passées Aussi incroyable que cela puisse paraître, il existe des compétences transposables entre l’UX Design et le cirque . « l’artiste et le designer veulent offrir la meilleure expérience possible à quelqu’un », remarque Cédric. Après 10 ans dans l’acrobatie et 20 ans d’expériences diverses, le professionnel pourra aussi mettre en avant son œil artistique, son adaptabilité, sa capacité à évoluer en équipe et sa rigueur. « Il ne faut pas avoir peur de se lancer. Ce n’est pas parce qu’on a plus de 40 ans et qu’on n’a jamais travaillé dans le Web qu’on ne peut pas le faire ». Cédric « Si vous aimez le métier dans lequel vous vous reconvertissez, ce sera plus facile. Avec mes amis, nous avons trouvé tous nos projets passionnants et aujourd’hui, je m’éclate à mon poste. Je n’ai pas prévu d’aller où que ce soit pour l’instant ». Minyoung ______________________ Vous aussi, formez-vous au sein du bootcamp UX / UI Designer ou du bootcamp en développement web d’Ironhack pour vous reconvertir dans le design ou le product design. Vérifiez aussi quelles options de financement s’offrent à vous pour concrétiser ce projet de formation ou évolution professionnelle.
Ironhack News
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Frida Chacin Kulak - 2022-07-28
Carrières
Alumni
La communauté Ironhack regroupe toutes les personnes qui s'inscrivent à nos formations intensives, ainsi que toutes celles qui en sont déjà diplômées – nos anciens élèves d'Ironhack ! Elle englobe également nos formidables enseignants et assistants (car que serait une école sans enseignants ?), notre personnel sur le campus et, bien sûr, l'équipe d'Ironhack ! (Par exemple, les personnes qui écrivent cet article... coucou !) Les Ironhackers sont des gens qui ont décidé de franchir le pas et de se lancer dans la carrière technologique de leurs rêves. Notre diversité est une caractéristique fondamentale. Les Ironhackers sont souvent des débutants dans le domaine de la technologie et des personnes qui changent de carrière, ce qui correspond à une définition très ouverte ; notre communauté comprend des personnes de tous les horizons, de toutes les catégories démographiques et de tous les secteurs d'activité. Nous disposons de campus Ironhack dans 10 pays, sans compter nos étudiants et campus à distance ! Malgré tout, nous partageons tous un ensemble de valeurs et de traits qui nous définissent comme de véritables Ironhackers. C'est notre esprit de communauté qui nous définit : nous collaborons et nous nous soutenons mutuellement, et nous organisons de nombreuses opérations de réseautage et d'événements d'Ironhackers pour nous rencontrer et nous réunir, par exemple lors des rencontres Ironbeers. Comme vous pouvez le voir dans cette vidéo, avec 10 ans d'Ironhacking et plus de 10 000 diplômés, nous sommes devenus une grande famille du monde de la technologie ! Les caractéristiques d'un Ironhacker Alors, êtes-vous en mesure de devenir Ironhacker ? Poursuivez votre lecture pour découvrir nos valeurs fondamentales qui définissent exactement le profil de nos Ironhackers. Le goût de l'apprentissage Travailler dans la technologie implique un apprentissage constant. Il existe une myriade de langages de codage, de programmes et d'avancées technologiques, et leur nombre ne cesse de croître quotidiennement. Une soif insatiable de connaissances est donc une condition sine qua non pour affronter le monde intimidant de la technologie et s'y épanouir ! Chez Ironhack, cette passion est commune : nous acquérons de nouvelles compétences, nous apprenons les uns des autres et nous partageons ce que nous avons jugé utile sur nos réseaux sociaux, lors de webinaires en direct, etc. Consultez notre podcast, où d'anciens élèves d'Ironhack et des experts du secteur nous parlent des carrières technologiques uniques qu'ils ont bâties et de la manière dont ils y sont parvenus. Vous pouvez également consulter quelques-uns de nos articles de blog, où nous évoquons des sujets tels que les nomades numériques dans la technologie ou le piratage éthique ! Le goût de l'aventure Si, enfant, vous rêviez d'explorer la jungle, les océans ou même d'autres planètes, le monde de la technologie est peut-être fait pour vous ! Pour travailler dans le secteur de la technologie, il faut faire preuve de courage, avoir un sang-froid à toute épreuve et, surtout, avoir le goût du changement et de l'incertitude, sachant que les tendances et les technologies évoluent en un clin d'œil. Les Ironhackers savent que la flexibilité est indispensable pour évoluer et sont disposés à se lancer dans l'aventure. Certains de nos anciens élèves traversent même les frontières pour changer de vie ! Les Ironhackers n'ont pas peur de faire face au changement, allant jusqu'à déménager dans un autre pays ou à effectuer un virage dans leur carrière pour suivre leur passion, comme l'a fait Amr quand il a quitté la Syrie pour rejoindre l'Allemagne et a su exploiter son expérience d'artiste pour devenir concepteur UX/UI. Respect et empathie Ironhack s'adresse à tous : nous aimons les gens et leurs histoires ! La diversité nous rend plus forts, et il ne s'agit pas là simplement d'une phrase accrocheuse : elle stimule l'innovation, en apportant de nouvelles voix et une variété de perspectives qui suscitent de nouvelles idées et une réflexion novatrice. Des études ont démontré que plus l'équipe est diversifiée, plus les résultats de la collaboration sont fructueux et originaux. Cependant, être ouverts à la diversité change également notre façon de penser et de nous comporter. Si nous nous efforçons consciemment d'écouter les autres et de nous mettre à leur place, indépendamment de leurs points de vue, ce que nous mettons en œuvre dans le monde sera davantage inclusif et constructif. Nous avons tous vu les études sur la manière dont les IA de reconnaissance faciale sont susceptibles de partager les stéréotypes racistes inconscients de leurs créateurs. Nos partis pris et nos préjugés se reflètent dans la technologie que nous créons, mais nos initiatives visant à respecter et à inclure celles et ceux qui sont différents de nous auront également un impact majeur. Ambition Toutes les personnes qui choisissent Ironhack viennent avec un objectif en tête. Que vous souhaitiez franchir le pas de la technologie pour la première fois, renforcer vos compétences actuelles ou transformer complètement votre vie, les Ironhackers sont tous motivés ! Nous sommes ambitieux et déterminés, et nous pouvons nous adapter à n'importe quel environnement pour atteindre nos objectifs ; nous nous engageons à consacrer de longues heures à l'apprentissage (les formations sont intenses !), et nous ne tardons pas à lancer nos propres projets. Chez Ironhack, nous sommes toujours attentifs aux idées nouvelles que nos étudiants et nos anciens élèves proposent. Oui, la technologie nous passionne au plus haut point ! Avez-vous les qualités requises pour devenir Ironhacker ? La vie d'un Ironhacker regorge de défis, ce qui est extrêmement gratifiant. Comme nous l'avons souligné au début de cet article, nous ne sommes pas une école de technologie comme les autres : nous accordons une importance toute particulière à notre communauté, et nous prenons soin des nôtres. Personne ne vit en vase clos, surtout dans le monde de la technologie. Lorsque vous devenez Ironhacker, vous trouvez une famille pour la vie. Les liens d'amitié que vous avez tissés tout au long de votre parcours, au fur et à mesure que vous acquérez des compétences techniques et que vous devenez apte à exercer dans l'industrie, vous accompagneront au-delà de la formation intensive. Nous restons en contact ; nous recevons constamment des témoignages d'anciens élèves qui se sont rencontrés sur le campus et ont lancé des projets, des startups et d'autres entreprises ensemble ! Mais en choisissant Ironhack, vous obtiendrez bien plus qu'une formation de haut niveau et un diplôme : nous privilégions les résultats, ce qui signifie que nous tenons à ce que vous décrochiez la carrière de vos rêves dans l'industrie technologique ! Nous offrons à nos étudiants un accompagnement professionnel personnalisé et un accès à notre liste de partenaires d'embauche afin que vous puissiez débuter avec brio votre carrière dans la technologie et bénéficier d'une confiance inébranlable dans vos perspectives de carrière. Avec Ironhack, vous rejoindrez une communauté internationale composée de passionnés de technologie et d'apprenants. Téléchargez notre programme de formation et commencez votre voyage dans le monde de la technologie !
Ironhack - 2021-12-13
Développement Web
Alumni
Il y a des parcours de vie linéaires et des gens qui ont toujours su ce qu’ils voulaient faire. Jordane Lelong ne fait nullement partie de ces catégories. Entre passion, questionnements et quête personnelle son histoire est comme celle de chacun d’entre nous: unique. Étudiant(e) ou professionnel(le) en reconversion, vous vous retrouverez peut-être dans ce qu’elle raconte. Que ce soit le cas ou non, ce qui est certain, c’est que son histoire ne vous laissera pas indifférent. Et pour ceux qui, comme elle, sont un peu perdus pour trouver leur “voie”, nous vous invitons à découvrir les excellents conseils qu’elle a si bien partagés à la fin de cet article. De la formation à la passion Jordane est une jeune femme de 28 ans, passionnée de musique et de voyages “ même si c’est un peu compliqué pour voyager en ce moment ”. Product designer chez Free depuis juillet dernier et co-fondatrice de “ UX Challenger ” qu’elle a monté avec une autre Ironhackeuse, Morgane Favchtein , aujourd’hui Jordane semble vraiment épanouie. Pourtant il n’en a pas toujours été ainsi. Comme beaucoup, elle s’est vue poser la question, à 18 ans, de ce qu’elle souhaitait faire de sa vie sans avoir aucune idée de comment choisir. Son goût pour l’école étant limité “sauf pour l’anglais, l’art plastique et l’informatique” et sans vraiment personne pour l’aider, elle s’est rabattue sur un choix “sécurisant”: celui d’un parcours en commerce international “car il y a plus d'opportunités dans cette branche.” . Sauf que voilà, quelques années plus tard et un master en poche, ses questions étaient toujours là et aucun des métiers sur lesquels ses études pouvaient déboucher ne lui plaisaient. Jordane, aussi créative que passionnée, s’est donc orientée vers le seul environnement qui l'attirait vraiment: celui de la musique. S’en sont suivis 6 années en tant que responsable d'événements à organiser des concerts partout à l’étranger. Mais loin d’une vie de rêves, intermittente du spectacle, c’est beaucoup de dévouement, de difficultés et de sacrifices auxquels elle a dû faire face. Début 2020, un burnout et un premier confinement plus tard, son job et sa santé y sont passés. Il était donc temps de “réfléchir à ce je voulais faire de ma vie”. S'inspirer des autres Au-delà de son incroyable personnalité et de sa créativité avérée, ce qui est frappant chez Jordane c’est son indépendance et son besoin de liberté. Rien d’étonnant donc, à ce qu’en fouillant sur les réseaux sociaux, elle soit attirée par des vidéos de femmes expliquant comment ne pas dépendre du salariat. Et c’est donc là, que pour la première fois, elle entend parler de web design et de son futur métier. Petit à petit, Jordane se forme à des outils “no code” et commence à créer ses premiers sites pour des amis. Fin 2020, non seulement elle s’y retrouve financièrement grâce à plusieurs projets et clients mais surtout elle se découvre un nouvel intérêt croissant pour le web design et les problématiques de l’UX/UI. Grâce à sa soif d'apprentissage et sa curiosité illimitée, Jordane a réussi en quelques mois à faire complètement pivoter sa carrière, alors pourquoi se lancer dans un bootcamp en étant si bien (re)partie ? La réponse vous la connaissez sûrement. Il est parfois vraiment difficile de lutter contre son syndrome de l’imposteur et réussir à penser que l’on est légitime à intégrer un nouveau secteur ou un nouveau métier. C’est donc pour cela qu’elle a rejoint Ironhack, pour se faire accompagner, pouvoir apprendre les bases et les appliquer sur des projets concrets mais aussi rejoindre une communauté de passionnés. Des hésitations et des peurs elle en a eu un paquet : “ 3 mois c’est court, qu’est ce qu’il va se passer après? ” “ Je suis une femme, est-ce que j’ai vraiment ma place ici? ” “ Et si j'échoue dans ce domaine? ” Devenir une Ironhackeuse Cependant, grâce à sa détermination et l’aide d’une bourse Indeed, créée exprès pour les personnes ayant perdu leur emploi suite à la crise du covid, elle intègre rapidement le bootcamp. A partir de ce moment-là, tous ses doutes se sont évaporés : la théorie associée chaque jour à la pratique a été sa formule magique. Elle a appris à se faire confiance en exerçant, en “ mettant les mains dedans ” et surtout en voyant à quel point jour après jour elle était capable de progresser. Sans oublier le fait que, chez Ironhack, on apprend en groupe. Avoir du feedback, pouvoir partager ses interrogations et recevoir du soutien quand tout ne va pas bien ont été pour elle des éléments indispensables à son apprentissage. Savoir-faire et savoir-être sont les deux clefs qui lui ont permis de déverrouiller la porte vers la confiance en elle qu’il lui manquait. Ce qu’elle répond quand on lui demande ce que le bootcamp lui a apporté ? “J’en suis sortie boostée. J’étais une nouvelle personne, préparée à cette nouvelle aventure qui s’offrait à moi. [...] Ironhack m’a appris que je suis capable de partir de rien et d’aller loin. [...] J’ai vraiment mal vécu mon départ du milieu de la musique à cause de mon burn out, mon monde s’est effondré et avec le bootcamp je me suis prouvée que je n’étais pas un vieux dinosaure qui ne pouvait plus rien faire, bien au contraire. On pense trop souvent qu’on est trop vieux pour apprendre de nouvelles choses, changer de carrière, monter une entreprise mais pas du tout. De manière générale, les habitudes conditionnent trop nos façons de faire et d’appréhender les changements. Il faut avoir un bon environnement et un bon état d’esprit pour apprendre de nouvelles choses, c’est ce que m’a apporté Ironhack”. Rester fidèle à elle-même Jordane a finalement concilié sa vie de freelance et une vie de salariée en rejoignant une agence quelques semaines à peine après le bootcamp puis, aujourd’hui, le groupe Free : “je ne pensais pas trouver un job aussi rapidement. Ironhack a une très bonne notoriété dans le milieu de l’UX et les entreprises sont impressionnées de voir le travail qu’on arrive à faire en 9 semaines. Je me suis sentie en confiance pour parler de mon parcours et je n’avais pas du tout honte en sortant alors que je n'avais pas un profil spécialisé.” Pour rester alignée avec ses convictions (NDLR: elle est vegan depuis 8 ans et pratique le “0 déchet”), elle s'était donné pour mission d'accompagner des entrepreneurs dans le domaine de l’écologie, de la santé ou encore du bien-être. Finalement, son utilité, elle la trouve non seulement dans ces projets mais également chez Free, au quotidien. Son métier consiste à avoir une démarche plus responsable vis-à-vis de l’utilisateur, le remettre au centre de la stratégie pour que “la tech soit au service de l’humain et non l’inverse.” On pourrait croire qu’avec tout cela Jordane est déjà assez occupée mais c’est mal la connaître. Comme si ça ne suffisait pas, elle a monté un projet de bénévolat “ UX Challenger ” avec une autre Ironhackeuse, Morgane Favchtein , rencontrée pendant la formation pour “redonner ce dont elle a bénéficié". Le principe est simple : 1 pitch = 1 projet. A elles deux, elles lancent régulièrement des “design challenges” pour que les jeunes designers puissent s’entraîner et leur offrent du mentorat après la remise du projet. “Les designers en devenir sont super contents d’avoir du feedback constructif qui va les faire progresser”. La spontanéité est essentielle Comme vous l’aurez compris, son envie d’aider n’a d’égal que sa passion pour son métier. C’est donc ici que nous partageons avec vous ces conseils qu’elle a si bien formulés : “Si je m’étais rencontrée à l’époque où j’étais perdue, je me serais dit : arrête de trop réfléchir et aie confiance en toi. C’est trop facile de se comparer aux gens surtout sur les réseaux sociaux, il faut provoquer sa chance et se lancer. Ironhack c’était presque un coup de tête mais je n’avais rien à perdre. Au début, je me sentais mal de prendre une décision aussi vite mais, en fait, il faut de la spontanéité pour bousculer les choses. Si on m’avait dit il y a un an où j’en serais aujourd’hui j’aurais rigolé. Lorsque le bootcamp se termine on continue d’apprendre, c’est à ce moment là que le travail commence vraiment. Ensuite c’est un apprentissage différent, on se confronte à la réalité, à des problématiques business, on doit composer avec toutes les parties de l’entreprise. Il faut se dire que chaque occasion est bonne pour s’améliorer. C’est comme ça qu’on apprend à savoir qui on est et ce qu’on veut faire, ou non.” Vous souhaitez faire comme Jordane? Commencez votre parcours UX/UI, développeur web, data analyste ou cybersécurité dès aujourd'hui en suivant l'un des Bootcamps d'Ironhack . Nos cours vous permettront d'acquérir les compétences essentielles pour vous lancer dans une carrière dans le secteur dynamique et passionnant de la tech.
Diana Blaum - 2021-08-12
Alumni
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Venez rencontrer Leonard Philippe-Perron qui a fait le Bootcamp UX/UI chez Ironhack. Nous l'avons interrogé sur son expérience Ironhack et sur son incroyable projet final. Avant de parler de votre expérience en détail, pouvez-vous vous présenter ? Je suis un ressortissant français de 23 ans qui est qualifié techniquement pour être historien et archéologue. Toujours désireux d'explorer de nouveaux horizons. J’ai toujours été attiré par les logiciels, les ordinateurs et la technologie dans son ensemble, mais avec mes études, je n'ai jamais pensé que je pourrais faire autre chose qu'un simple intérêt pour l’UX/UI Design. Merci Leonard. Finalement, pourquoi avez-vous choisi de rejoindre Ironhack et de vous lancer dans la technologie ? Beaucoup de gens pensent que pour travailler dans la technologie, il faut être bon en maths. J'étais l'un de ces croyants jusqu'à ce que je réalise qu'il existe d'autres portes pour entrer dans l'industrie technologique. Pour moi, c’était un grand pas en avant, car toute mon éducation a été liée à l’art, je suis diplômé en histoire de l’art à Royal Holloway, Université de Londres et j’ai deux Masters : un de l’Université d’Amsterdam en lettres et langues classiques et un autre du King’s College de Londres en art classique et archéologie. Avant de rejoindre Ironhack, j'ai suivi un cours de communication numérique, qui a été ma première approche du monde technologique. Puis un ami m'a recommandé de jeter un coup d'œil à Ironhack et voir comment se lancer dans la technologie, en mélangeant mes connaissances de l’industrie de l’art et de la technologie, ce qui me permettra de tracer la voie à suivre. J'aimerais savoir quel a été le moment clé de votre vie qui vous a pousser à franchir cette étape ? L’annonce d’un nouveau confinement national. J'ai décidé que je devais faire quelque chose d'utile, je ne pouvais pas supporter l'idée d'être coincé à la maison à perdre du temps. C'était donc pour moi un facteur clé dans ma décision de rejoindre Ironhack. De plus, au moment de la décision, je n'avais pas d'engagement avec une entreprise, ce qui m'a permis de me concentrer à 100 % sur le bootcamp. Comment un Bootcamp à distance s'est-il intégré dans votre programme ? Pourquoi avez-vous choisi Remote plutôt qu’un bootcamp sur le campus ? Pour moi, un format en ligne n'était pas la première option, j'aurais apprécié un programme en présentiel. Mais en raison de la situation Covid, Ironhack Remote était la solution parfaite pour moi afin de tirer le meilleur parti de mon temps. Les années 2020/2021 ont été très difficiles, je ne peux donc pas me plaindre d'avoir eu la chance de rencontrer toutes ces personnes extraordinaires par le biais de Zoom, en espérant qu'un jour je les rencontrerai en personne. Je suis curieux, quel a été votre meilleur moment chez Ironhack ? Le projet final ! C'est certainement le meilleur moment que j'ai passé chez Ironhack. C'était un moment si court et si intense que je n'ai pas vu les heures passer. Maintenant que vous mentionnez que le projet final a été votre meilleur moment chez Ironhack. Pouvez-vous nous en dire un peu plus à ce sujet ? Notre projet était un peu différent de ce que nous avions étudié auparavant. Nuno et moi nous sommes penchés sur la réalité virtuelle et sur la manière dont l'utilisateur interagit avec la RV. L'entreprise qui nous a confié le projet nous a laissé une liberté totale quant à ce que nous pouvions proposer. Nous avons donc décidé de créer un schéma de contrôle transparent, intuitif et interactif pour une expérience virtuelle dans laquelle l'utilisateur pourrait voir en détail un produit qu'il aurait envie d'acheter. Notre projet était uniquement axé sur la manière dont l'utilisateur allait contrôler l'expérience. C'était tellement amusant et nous sommes devenus les gagnants du Hackshow. Je suppose que lorsque l'on travaille sur quelque chose que l'on aime vraiment, il est plus facile de le défendre (même si nous avons travaillé très dur !). Qu'aspirez-vous à faire ensuite avec vos nouvelles compétences ? Je n'ai pas encore décidé, je pense soit acquérir de l'expérience dans le secteur de la RV, soit appliquer mes compétences en matière d'interface utilisateur au marché de l'art et y créer des opportunités.
Diana Blaum - 2021-06-22
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Voici Nuno, qui a décidé de développer sa passion pour le design centré sur l'humain et a rejoint le Bootcamp Ironhack Remote UX/UI Design. Avant de parler de votre expérience en détail, pouvez-vous vous présenter ? J'ai actuellement 29 ans et je suis originaire de Porto, au Portugal. Je vis à Berlin depuis maintenant 6 ans et j'ai travaillé de 2015 à 2020 en tant qu'architecte, concevant principalement des bâtiments publics (musées, hôpitaux, écoles...). Je peux dire avec fierté que j’ai eu plusieurs réalisations importantes tout au long de cette carrière, par exemple en 2018, mon équipe a été élue la meilleure d’Allemagne, sur competitiononline.de. Mais je voulais toucher plus de gens avec mes créations. Dès mon plus jeune âge, j'étais curieux de comprendre comment les choses fonctionnent et sont conçues. Cela m'incite à continuer d'apprendre, à créer et à partager mes connaissances avec d'autres, afin d'apporter l'innovation dans la vie quotidienne. Ainsi, au second semestre 2020, j'ai décidé d'étendre ma passion pour le design centré sur l'humain aux produits numériques et j'ai commencé à apprendre le design UX/UI. Mars 2021 a été le début de mon voyage chez Ironhack. J'ai pu transférer certaines de mes compétences acquises en architecture dans ce nouveau domaine. Tout au long de cette étonnante aventure, j'ai pu acquérir de nombreuses compétences et méthodologies différentes, ce qui m'a naturellement donné une idée de la direction que je souhaitais prendre. J'ai le sentiment que ma mission consiste désormais à faire preuve d'empathie envers les gens en comprenant leurs besoins, afin de concevoir des expériences agréables qui amélioreront leur vie. » Merci, Nuno. En fin de compte, pourquoi avez-vous franchi cette étape et pourquoi avez-vous choisi Ironhack ? L’année 2020 a été un tournant pour beaucoup d’entre nous, y compris moi-même. Dans mon cas, ce n'était pas seulement en raison des événements de cette année-là, mais aussi parce que j'avais atteint mes cinq années de travail en tant qu'architecte et que j'avais envie de remettre en question ma courbe d'apprentissage pour acquérir des compétences dans un domaine qui m'intéressait et qui m'intriguait. Une grande partie du monde est passée au numérique et j'étais motivé pour me mettre sur les rails en travaillant sur des produits qui pourraient apporter de l'innovation dans la vie quotidienne. Depuis mon plus jeune âge, je suis fasciné par la construction de produits et la compréhension du fonctionnement des choses. J'ai travaillé pendant plusieurs années en tant qu'architecte et j'étais donc habitué à concevoir des projets dans une optique centrée sur l'humain. Ma décision de me lancer dans la technologie était en grande partie due à la volonté de concevoir des produits destinés à un public plus large et d'acquérir des compétences en matière d'expérience utilisateur en faisant preuve d'empathie envers les gens tout en comprenant leurs besoins. J'ai choisi Ironhack principalement en raison du rythme d'apprentissage et de la structure du cours. En plus de faire mes recherches sur l’expérience antérieure des anciens élèves , j’ai compris que faire un bootcamp à temps plein à ce rythme pourrait être la formation la plus appropriée pour me préparer au marché du travail. Comment notre Campus à distance Ironhack s'est-il intégré dans votre programme ? En fait, la flexibilité d'un bootcamp à distance et la possibilité de se connecter avec des personnes du monde entier ont été les facteurs clés de cette décision. J'ai pu commencer le cours à Berlin et le terminer au Portugal. Mon professeur, Juno, vivait à Miami et l'assistante technique, Carolina, a également changé de lieu pendant le cours. J'ai eu l'occasion d'apprendre et de partager mes compétences avec des personnes talentueuses de différents pays et milieux. À l'avenir, nous assisterons à une augmentation du nombre de nomades numériques. Ce cours a prouvé que je pourrais être l'un d'entre eux dans les années à venir et m'adapter facilement au mode de travail à distance. Cela semble incroyable. Je suis curieux, quel a été votre meilleur moment chez Ironhack ? La dernière semaine du projet final a certainement été le meilleur moment. C’était aussi le plus intense ! Je ne sais pas combien d'heures j'ai travaillé au total pendant ces derniers jours, mais cela en valait vraiment la peine : le succès que nous avons obtenu au Hackshow et tous les commentaires des personnes qui ont vu notre présentation. Il est gratifiant de voir les progrès que l'on peut faire en sortant de sa zone de confort et en travaillant pour atteindre des objectifs élevés. Félicitations pour avoir gagné le Hackshow ! Pouvez-vous nous en dire plus sur votre projet gagnant ? Pour le projet final, mon collègue Léonard et moi-même voulions travailler avec la réalité étendue. Nous savions que cela représenterait une charge de travail supplémentaire pour nous, car nous devions penser en 3D et concevoir un support pour lequel nous n'avions pas d'expérience préalable. Mais nous voulions relever ce défi et avons contacté une société, "Grandpa's Lab", qui développait un showroom de réalité virtuelle pour une marque de chaussures. Ils nous ont confié la tâche de concevoir les interactions de l'expérience. Nous avons effectué un processus de recherche approfondi sur la conception de la RV et les problèmes auxquels les utilisateurs sont confrontés. En outre, nous avons envoyé 59 enquêtes et réalisé 10 entretiens avec des personnes qui ont façonné notre processus de recherche UX, afin de trouver les problèmes que nous voulions résoudre avec la solution proposée. Ces derniers jours, nous avons créé un prototype hi-fi à l'aide d'un outil de modélisation 3D, afin de pouvoir tester les interactions et le présenter lors de la présentation finale. Il est intéressant de voir maintenant combien de travail peut être fait en seulement deux semaines. Avec toutes les nouvelles compétences que vous avez acquises, que voulez-vous faire ensuite ? Avec les compétences que j'ai acquises chez Ironhack et celles que j'ai transférées de mon expérience précédente, je me sens en confiance pour travailler dans n'importe quel domaine de la conception UX/UI. Mon objectif est de m'inscrire dans des projets auxquels je crois, afin d'apporter de l'innovation tout en répondant aux besoins des gens. En outre, je cherche à partager mes compétences avec d'autres personnes qui souhaitent poursuivre cette carrière. Merci beaucoup d’avoir partagé votre histoire. Avez-vous des recommandations pour quiconque envisage de changer sa vie avec Ironhack ? Le conseil que je donne aux nouveaux étudiants est d'avoir l'esprit que vous apprendrez autant que vous vous investirez. D'après mon expérience, j'ai rencontré une équipe qualifiée d'Ironhack qui fournit tout ce qui est nécessaire pour obtenir des compétences importantes et créer des attentes élevées. Mais c'est à vous de les transformer en véritables réalisations tout au long de votre carrière. La technologie est un domaine en pleine expansion et il est important de continuer à apprendre et à se dépasser, même après le Bootcamp.
Ironhack - 2021-02-17
Cyber-sécurité
Alumni
Gabriel Ayela a rejoint le bootcamp sur la cybersécurité en novembre 2020. Le programme dure 12 semaines à temps plein. Lorsque nous l'interrogeons, nous sommes à la mi-janvier et il a fait plus de la moitié du bootcamp. Gabriel est français, il vit en Allemagne et a travaillé pendant 10 ans dans l'industrie musicale : engager des DJs, gérer des événements et des concerts, faire des réservations, créer des réseaux entre musiciens... faisaient partie de son quotidien. Mais il a toujours été passionné par la technologie. Enfant, il a reçu son premier ordinateur et la première chose qu'il a faite a été de l'ouvrir pour voir ce qu'il contenait et de le reconstruire. En raison de la pandémie, son travail dans le secteur de la musique était en danger, il a donc décidé d'opérer un changement radical. Un de ses amis a étudié à Ironhack et le lui a recommandé. En regardant les programmes, il a décidé de s'inscrire au programme de cybersécurité : pourquoi celui-ci ? Gabriel a été victime d'une cyber-attaque il y a quelque temps, quelqu'un a accédé à ses comptes et depuis, il se demandait pourquoi et comment cela avait pu se produire - il était curieux de comprendre ce qui se cache derrière une cyber-attaque. Même s'il s'intéresse au codage, il ne voulait pas se spécialiser dans un langage mais comprendre les implications de la sécurité pour une entreprise sur le plan technique. Premiers jours au bootcamp sur la Cybersécurité chez Ironhack Au début, « j'avais un peu peur, je ne savais pas exactement à quoi m'attendre ». Avant le début des cours, il y a un travail préalable obligatoire de 20 heures à effectuer qui, selon Gabriel, « vous prépare vraiment au programme. Je me suis vite sentie à l'aise avec les camarades de classe et les instructeurs, car ils sont là pour vous soutenir, ce qui crée une communauté vraiment interactive et dynamique. » En ce qui concerne le manque d'expérience préalable, il affirme que « ce n'est pas un obstacle. Je suis intéressé et passionné. Même si le cours se termine à 18 h, je ne peux pas m'arrêter, je suis toujours en train de vérifier de nouveaux outils, c'est un sujet sans fin. » Ni en ligne, ni en personne... Format hybride ! Le format de ce programme est hybride, ce qui signifie qu'il est enseigné en ligne et auto-guidé, mais que pendant deux heures le matin et deux heures l'après-midi, une personne (l'animateur) est là pour répondre à vos questions et vérifier que tous les exercices quotidiens sont effectués. Grâce à cette méthodologie, tous les étudiants apprennent en même temps et combinent l'apprentissage en ligne avec des sessions en direct avec une personne disponible pour eux. Pendant le reste de la journée, les camarades de classe partagent leurs questions et les meilleures pratiques sur Slack. Ils peuvent ainsi faire des appels et travailler ensemble dans tout ce dont ils ont besoin. Ce format est « parfait pour la cybersécurité. Vous avez besoin de temps seul pour travailler dans vos laboratoires et relever des défis, mais vous ne vous sentez jamais seul. On utilise la chaîne Slack et on a l'impression d'être en classe. La charge de travail est bonne, c'est vraiment intense et vous devez vous adapter jusqu'à ce que vous ayez votre routine de travail. » Gabriel dit qu'il suit tout ce qui se passe, mais que le programme devient un peu plus difficile, puisqu'il s'agit d'un programme intensif. Quel est le contenu du bootcamp ? La plateforme combine des vidéos, des études de cas et des quiz qui permettent aux étudiants de se mettre en situation réelle. Ils ont récemment eu une introduction à Javascript, mais il faut coder. Ils se sont concentrés sur les réseaux, sur la manière de les construire et sur la façon de répondre et de réagir face à une cyber-attaque. À la fin du programme, ils doivent présenter un projet collectif réalisé par équipes de deux. Ce projet est réalisé pendant les 12 semaines du bootcamp. Toutes les deux semaines, ils font une présentation de 30 minutes devant le reste de la classe pour expliquer ce sur quoi ils ont travaillé. Le sujet que Gabriel a choisi est « Les transports publics et la cybersécurité ». La cybersécurité est un sujet très vaste, il y a donc différents rôles et chaque semaine, ils se concentrent sur un de ces rôles. Gabriel estime que « vous devez travailler par vous-même, être vraiment autonome et relever davantage de défis » à mesure que le programme approfondit son contenu. Selon son expérience, travailler ainsi est « vraiment gratifiant, car c'est vous qui rendez l'apprentissage possible. » Pourquoi choisir la cybersécurité chez Ironhack ? Quand Gabriel a envisagé de procéder à ce changement, il a cherché d’autres options, mais la plupart d’entre elles se trouvaient aux États-Unis ou n’assuraient pas ni de véritable suivi, ni une bonne communication avec les enseignants. « J’ai constaté que chez Ironhack, les instructeurs et les animateurs sont vraiment enclins à nous apporter leur aide, à découvrir qui nous sommes et à nous accompagner. » Il apprécie également le contact avec Careers, après un premier échange avec l’équipe, il estime que Ironhack « a le grand avantage de se focaliser sur le placement professionnel. Ce sont des éléments uniques qui rendent ce programme différent. » Il a un dernier conseil pour ceux qui envisagent de rejoindre Ironhack : « oui, ce sera intensif mais n’ayez crainte ! C’est tellement excitant que vous en oublierez les difficultés. » Si vous envisagez également de rejoindre un bootcamp de cybersécurité mais que vous avez des questions, n’hésitez pas à contacter l’un de nos responsables des admissions et à lui poser toutes les questions que vous souhaitez ! Nous attendons de vos nouvelles avec impatience !
Ironhack - 2020-06-01
Développement Web
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Cofondatrice de Mindly (made in Silicon Valley), madrilène, femme et, bien sûr, Ironhacker, Marta Fonda nous parle de son expérience Ironhack en tant qu'étudiante du bootcamp de développement Web à Madrid . Quand et pourquoi avez-vous décidé de vous inscrire à un bootcamp chez Ironhack ? Lorsque j'ai obtenu mon diplôme universitaire, où j'ai étudié l'ingénierie et l'administration des affaires, j'ai réalisé que je n'avais été exposé à aucun type de développement web ou mobile en dehors du projet final. Malgré cela, j'ai commencé à chercher des emplois, mais je ne me sentais pas à l'aise avec toutes les options typiques comme le conseil ou l'audit. De plus, à l'époque, je n'étais pas du tout au courant de l'écosystème des start-ups et je n'avais aucun contact avec les entrepreneurs. Je me suis donc contenté des technologies des multinationales qui existent depuis toujours, comme IBM et Microsoft. J'ai passé d'innombrables entretiens infructueux pour lesquels je manquais clairement d'expérience professionnelle, mais aussi au cours desquels ma passion et ma motivation pour ma carrière ont été reconnues et appréciées. C'est au mois d'août que j'ai reçu un e-mail de Xavi Leal (merci Xavi!) me parlant de ce nouveau modèle éducatif révolutionnaire appelé Ironhack: un cours intensif de huit semaines qui enseignait le développement web full stack. Il est important de noter qu'à l'époque, je connaissais vaguement le HTML, le CSS et un peu de JQuery (même pas le JavaScript !), et pour mon projet final à l'université, j'ai utilisé Symfony2, un framework qui venait de sortir et qui était assez populaire, et PHP. Compte tenu de mes connaissances limitées en programmation, mais réalisant que « si Xavi vous en parle, ça doit valoir le coup», j'ai fait le premier pas en allant sur le site web d'Ironhack. En étant sur le site, j'ai été agréablement surpris de voir des visages familiers comme Javi Jiménez et Carlos Ble. J'ai eu le coup de foudre lorsque j'ai commencé à lire les informations sur le cours d'initiation au développement Web à plein temps, et j'ai donc décidé de m'inscrire au prochain cours qui se tenait à Madrid. Après seulement une semaine de procédure d'admission et d'entretien, j'ai commencé mon incroyable voyage en tant que membre de la famille Ironhack . Racontez-nous un moment du bootcamp où vous avez été confronté à un problème et avez dû le résoudre. Tout au long de votre séjour chez Ironhack, vous serez confronté à de multiples problèmes, mais le plus important c’est de ne pas abandonner et de les résoudre. Mon problème le plus mémorable chez Ironhack est survenu alors que je travaillais sur mon projet final. J'ai décidé d'utiliser Bootstrap comme framework pour le front-end et Heroku pour lancer mon application sur Rails, mais lorsque j'ai essayé de compiler les actifs, les choses ne se sont pas exactement passées comme prévu. D'innombrables maux de tête et deux jours de recherches sur Google plus tard, j'ai décidé de lancer l'application sur Amazon avec l'aide de mon mentor Alex Martin. Finalement, j'ai eu un coup de chance, le premier événement auquel j'ai assisté après avoir été diplômé d'Ironhack était le MadridRB de Noël où tous les anciens élèves sont revenus et se sont réunis. C’est là que j’ai rencontré Raul Murciano, ingénieur logiciel chez Heroku, et je lui ai parlé de mon dernier problème de projet et il s’avère que c’était le même bug qu’ils travaillaient à corriger chez Heroku. Quelques semaines plus tard, Raul m'a envoyé la solution au problème que nous avions tous les deux. Cet exemple de partage de solutions et d'entraide est fondamental pour la valeur de mon expérience en tant qu'étudiant Ironhack. Quelle a été votre plus grande réussite personnelle chez Ironhack ? C’est une question difficile! Mon séjour à Ironhack a été riche en expériences d'apprentissage et en réalisations personnelles, mais celle dont je suis le plus fier est ma nouvelle capacité à gérer le stress. À un moment pedant le bootcamp, j'ai eu besoin d'apprendre et de m'imprégner de tout en même temps, et les fondateurs d'Ironhack qui se sont joints à nous lors d'événements sociaux tels que des conférences et des réunions de réseautage m'ont aidé à comprendre comment faire. Seriez-vous d'accord pour dire qu'Ironhack n'est pas qu'un dur labeur, mais aussi un plaisir ? Pouvez-vous nous parler d'un moment où vous avez vécu cela ? Bien sûr ! J'ai vécu de nombreux moments agréables pendant mes deux mois chez Ironhack, des après-midi avec Sergio Arbeo aux nombreuses séances de yoga avec la classe. Mais si je devais retenir une seule expérience particulière, je choisirais les week-ends passés à travailler avec mes camarades de classe. Grâce à notre groupe diversifié de mathématiciens et d'experts en jeux de stratégie, et à une bonne dose de piratage informatique, nous avons mis au point un robot utilisant Ruby pour affronter le robot d'un autre bootcamp au Canada. Bien sûr, notre robot était si avancé que le bootcamp canadien n’a pas osé rivaliser avec nous.