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1 décembre 2023 - 7 minutes

J’ai choisi Ironhack pour son aspect international

Retour d'expérience de diplômés

Ironhack - Changing The Future of Tech Education

Carrières

Née au cœur de la Silicon Valley, la tech s’est exportée tout autour du globe. De Londres à Hong-Kong, de Harare à New Delhi, de Santiago à… Paris ! 

Que ce soit dans le design, le développement informatique, la cybersécurité ou même la data analyse, chacun de ces métiers se pratique en anglais. Les termes utilisés par les professionnels du secteur de la tech viennent souvent de cette langue, voire sont utilisés tels quels.

C’est ainsi que lorsqu’on apprend ces métiers, c’est un choix stratégique de le faire directement en anglais. Et ce, pour profiter des conseils de la large communauté internationale sur le Web (sur Github ou Quora pour n’en citer que deux), mais aussi afin de s’ouvrir des portes à l’international, pour celles et ceux qui auraient la bougeotte. 

Chez Ironhack, l’enseignement est en majorité en anglais, parfois en français. Les promotions sont éclectiques et multiculturelles. Des étudiant·e·s viennent se former à Paris des quatre coins du monde pour y travailler ensuite. Il y a aussi celles et ceux qui y habitent déjà mais veulent apprendre le métier en anglais pour travailler dans une entreprise internationale à Paris ou même pour s’expatrier. En tout, 70 nationalités sont représentées dans un joyeux melting pot. Cela crée une émulation au sein des promotions et une large partie des apprenants est internationale.

Voici des témoignages croisés de ces profils venus de France et de tous les continents pour participer à la formation résolument internationale d'Ironhack.

Apprendre son métier en anglais pour s’ouvrir à une communauté internationale 

Les formations de Ironhack, qu’elles se passent en ligne ou en présentiel sur l’un de nos campus, sont pour la plupart en anglais (sauf exception). Nous demandons un niveau B2 pour pouvoir suivre confortablement les enseignements dans cette langue, pour les non natifs.

Ironhack est l’une des rares écoles françaises à proposer des cours en anglais. Nous avons cependant tenu à proposer cela même à Paris puisque les métiers de la tech viennent des États-Unis. Comprendre l’anglais et savoir pratiquer cette langue est utile pour lire la documentation internationale ou échanger avec ses pairs partout dans le monde.


Pour Maurine Cornillon, diplômée en développement informatique :

« Étudier en anglais ajoute une vraie compétence, dans la mesure où dans le dev, tout est en anglais. Cela nous rend autonomes et à l’aise : c’est un plus, même à Paris ». 

Yasmina Bouabdallaoui a fait le même constat dans l’UX design. Après le bootcamp UX / UI designer, elle a trouvé un emploi en tant que Product Manager dans la start-up Pennylane à Paris, où l’anglais est au centre de la vie d’entreprise.

Maurine Cornillon a elle aussi été embauchée dans une start-up, un environnement où elle utilise l’anglais au quotidien, même pour échanger avec certains collègues. C’est monnaie courante à Paris, mais aussi dans d’autres capitales européennes tournées vers l’international, telles que Berlin, Bruxelles, Madrid ou Prague.

Cédric Renais, quant à lui, a apprécié se lancer le défi intellectuel d’étudier en anglais. Cet ancien acrobate de cirque échangeait avec des artistes internationaux en anglais auparavant, mais n’avait plus pratiqué depuis longtemps.

« J’ai choisi Ironhack pour le défi de me former en anglais. Je n’ai pas appris cette langue à l’école mais au contact de Russes, de Chinois, d’Italiens dans la communauté du cirque. Maintenant, la boucle est bouclée ». 

Un bootcamp anglophone pour booster son employabilité à l’international 

Il y a aussi les étudiants originaires de Paris ou d’ailleurs, qui espèrent grâce à des études en anglais s’exporter facilement où ils le voudront.

Minyoung Jung a fait des études de droit dans son pays natal, la Corée du sud, avant de se découvrir une passion pour l’UX design et de trouver du travail dans ce milieu. En 2016, suite à un accident de voiture, elle change de métier pour exercer un emploi qui la passionne encore davantage, cheffe au Meurice à Paris. Après un temps, la jeune femme pense à revenir à ses amours informatiques, toujours à Paris, où elle compte rester. Avec en tête tout de même ses prochains voyages.

« J’ai réfléchi à quelle formation en UX / UI design me donnerait à la fois la légitimité de rester à Paris, mais aussi la flexibilité de travailler n’importe où dans le monde dès que j’en aurais envie ». 

Pour cela, Minyoung choisit le bootcamp UX / UI designer de Ironhack, dispensé en anglais à Paris et reconnu tant en France qu’à l’international (États-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, Pays-Bas, Espagne, Mexique, Brésil, Portugal). Une formation qui lui ouvre toutes les portes dont elle a besoin en tant que globe-trotteuse.

Les digital nomads qui souhaitent se lancer en freelance ou qui travaillent dans une entreprise remote first, seront eux aussi ravis de constater la renommée du bootcamp à l’international. Ils pratiqueront naturellement la langue de Shakespeare en formation avant d’aller coder depuis une plage balinaise.

Étudier en anglais à Paris pour s’y intégrer

Palesa Thinta a fait le chemin inverse. Originaire d’Afrique du Sud où elle reste jusqu’au lycée, elle étudie ensuite en Côte d’Ivoire. Diplômée en statistiques à Abidjan, elle se destine au métier d’experte comptable avant de tomber amoureuse des statistiques appliquées à des domaines qui la passionnent, notamment l’agriculture, la santé ou la démographie. Elle exerce en Afrique du sud dans le milieu des études avant de faire un master à Paris en politique économique internationale, avec un focus sur l’Afrique et le développement socio-économique. Après quelques années en centre de recherches sur des questions socio-économiques et en cabinet de conseil, elle s’intéresse à l’UX design en trouvant que dans les études sur lesquelles elle travaille, l’avis des utilisateurs n’est pas assez pris en compte. 

Palesa fait des recherches pour savoir quelles études la mèneraient au Human Centered Design, qui la passionne. Elle pense aller à New York mais n’y trouve pas de formation en présentiel. Elle opte pour Paris, où elle connaît du monde et où elle trouve chaussure à son pied chez Ironhack

« Le bootcamp UX / UI designer correspondait bien à ce que je voulais. Il était en anglais et accueillait des gens de tous horizons, pas uniquement des Français »

Explique la jeune femme. Pour l’instant, elle compte rester à Paris. Le réseau de l’école a fait la différence pour l’aider à trouver des missions en freelance. Demain, elle sait que la formation tournée vers l’international l’aidera à retourner à Abidjan, Johannesburg ou ailleurs. 

Toheeb Ashorobi est lui aussi venu à Paris pour étudier puis travailler, dans le développement Web cette fois. Originaire du Bronx, cet américain trentenaire a fait sa première partie de carrière en tant que patron de bars.

« C’était un métier riche. J’ai beaucoup voyagé et je me suis connecté avec des gens de tous les horizons. Barman, c’est un peu comme psychologue. On discute avec les gens, on les cerne rapidement. À la fin, je savais quel cocktail ils allaient me commander (rires). Cela dit, je voulais pouvoir évoluer dans ma carrière et ne pas gagner d’argent au volume de commandes passées à mon bar. Un ami était développeur et m’en a parlé : ça m’a intéressé et je me suis lancé ». 

Le trentenaire commence par suivre des cours en ligne, mais est assez vite bloqué dans son apprentissage du code. En parallèle, il tombe amoureux d’une française et décide de la suivre à Paris. Ni une, ni deux, le voilà en quête d’une formation sérieuse, diplômante et en anglais, puisqu’il ne parle pas encore la langue de Molière.   

« J’ai choisi Ironhack pour son aspect international mais surtout car c’était diplômant. Les frais d’université sont dispendieux aux États-Unis : je n’avais donc jamais fait d’études supérieures. Pour moi, c’était une pierre, deux coups. J’allais m’insérer en France, rencontrer des gens à Paris, me former et obtenir une qualification », explique-t-il. 

Aujourd’hui, ce développeur en herbe s’est bien acclimaté à Paris. « C’est presque comme chez moi. Il y a une « vibe » très similaire entre Williamsburg (à New-York) et le 18ème arrondissement. Certaines parties sont encore en plein développement. Mais au coin de la rue suivante, tu tombes sur un endroit vraiment super ». Atterrissage réussi pour ce new-yorkais de pure souche, grâce à la formation anglophone de Ironhack

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Bref, quel que soit votre objectif —  rester à Paris ou travailler à l’international, intégrer une entreprise où l’anglais occupe une place prépondérante ou simplement mieux maîtriser la branche de la tech que vous avez choisie —, étudier en anglais est une bonne idée. 

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